Jeff Bodart

Jeff Bodart

Presse 2003/2005

Concert des Francofolies de Spa 2003

Extraits de presse

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Tout commence avec Jeff Bodart, venu présenter son petit dernier, «T'es rien ou t'es quelqu'un». Le chapeau vissé au crâne (rasé) d'où sortent deux favoris longs et minces en forme de pointe, l'ex-Gangster d'amour a distillé ses chansons énergiques et légères (assaisonnées des samples de DJ Julio) et ses balades teintées de gravité. Non sans chaleur dans ses adresses au public. Car rien n'est interdit à ce manieur de foule : demander à la foule de chahuter en intro à Un peu de bruit entre amis», la faire asseoir le temps du très beau «Ne dis rien», ou encore la fendre juché sur les épaules d'un comparse. L'humour, enfin, lorsqu'il cherche à savoir qui a placé la peau de banane sous ses pieds l'année dernière en plein concert spadois (qu'il a poursuivi malgré une déchirure des ligaments de la cheville). De même lorsqu'il décide de se reprendre lui-même («Du vélo sans les mains ») préférant éviter le panthéon de la chanson française, comme il dit. (...)VINCENT BRAUN, La Libre Belgique, juillet 2003

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Jeff Bodart. Il a tout osé, Jeff, en ouverture de la soirée sur la place de l'Hôtel de Ville. Comme de reprendre, pour l'essentiel. les chansons de son dernier album. Comme de chanter à trois reprises dans le public, que ce soit sur les épaules d'un spectateur ou assis parmi une audience qu'il avait préalablement obligée de s'asseoir. Du pur Jeff en toute grande forme, malgré quelques petits problèmes techniques. (...)THIERRY COLJON, Le Soir, juillet 2003

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